En cette journée mondiale de la terre, EpiCURA fait le bilan de son impact en termes de déchets dits « à risque ». Les actions liées au développement durable mises en place depuis plusieurs années portent leurs fruits avec des chiffres encourageants ! En 2021, le tonnage de déchets B2 (déchets dits « à risques » issus de l’activité hospitalière qui présentent un risque infectieux) s’élevait à 295 tonnes. Il est descendu à 203,5 tonnes en 2023, soit une réduction impressionnante de 91,5 tonnes.
Le tri des déchets constitue un enjeu majeur pour un groupe hospitalier de la taille d’EpiCURA. A force d’efforts quotidiens, de rappels des bonnes pratiques lors d’audits et des journées d’accueil des nouveaux engagés, les comportements évoluent, les lignes bougent et les résultats sont visibles. Aujourd’hui, nous pouvons nous réjouir de la réduction considérable de déchets B2 ainsi que de B1 (déchets classiques issus de l’activité hospitalière), la filiale la plus coûteuse à évacuer. En effet, les déchets B2 sont déversés dans les mêmes incinérateurs que les B1 et, pourtant, le coût de leur traitement est 10 fois supérieur. Dans un premier temps, les B2 sont envoyés dans un centre unique en Belgique (Thumaide), ce qui représente un coût de transport important. Ils sont ensuite pesés avant d’être incinérés. La différence importante de prix par rapport aux déchets B1 est difficilement justifiable puisqu’il n’existe pas de traitement particulier. Aujourd’hui, grâce au respect du tri et à la mise en place de nouvelles filiales de tri (verre, déchets ménagers…), la part de déchets recyclés augmente et l’empreinte carbone d’EpiCURA diminue.
Sous le slogan « EpiCURA soigne aussi la planète », de nombreuses actions sont menées par nos collaborateurs depuis 5 ans maintenant, date de la signature de notre charte du développement durable.