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Médecine interne - Activité du service

Prendre rendez-vous

Les maladies prises en charge par la médecine interne peuvent être des maladies rares, d’origine immunologique ou génétique, parfois dites « orpheline » (pour laquelle il n’existe pas de traitement reconnu), et dans laquelle l’interniste apportera son expertise particulière. Le plus souvent cependant, le patient suivi présente plusieurs affections atteignant différents organes pour lesquelles les traitements peuvent interagir de manière complexe, favorable et/ou délétère.

Les internistes

Certains internistes généraux ont suivi une spécialisation complémentaire dans différents domaines (par exemple l’immunologie, les maladies infectieuses, la rhumatologie ou l’allergologie – voir « Consultations spécialisées »), et exercent plus spécifiquement dans ces disciplines, via la consultation ou des avis donnés à d’autres médecins spécialistes. Les internistes généraux constituent ainsi un support important à l’intérieur de l’hôpital pour toutes les autres disciplines, médicales comme chirurgicales.

L’interniste général, de par sa formation poussée en sémiologie et son intérêt scientifique, reste orienté vers l’enseignement et l’encadrement des jeunes futurs médecins et des futurs spécialistes (voir « Maitrises de Stage » ci-dessous). Des séminaires variés sont régulièrement organisés et le service encourage une approche scientifique de la médecine, y compris en favorisant la publication de travaux scientifiques avec les assistants.

Enfin, l’approche multidisciplinaire fait partie de l’ADN de l’interniste général. Ainsi, l’interniste général travaille en collaboration avec une équipe paramédicale étendue, incluant infirmiers, kinésithérapeutes, assistants sociaux, ergothérapeutes, diététiciens, neuropsychologues et psychologues, afin de pouvoir prendre en charge les patients dans tous leurs aspects et leur assurer la meilleure récupération possible. Avec les mêmes principes, l’interniste général n’hésite pas à demander l’avis de ses collègues spécialistes et à collaborer étroitement avec le médecin généraliste du patient, toujours avec l’idée de promouvoir une approche globale du malade.